Sommaire :
Orange Is The New Black
Les États-Unis n’ont pas besoin de John Oliver pour dicter les défaillances de leur système pénal à des fins comiques – non, ils ont déjà Orange Is The New Black, la comédie noire basée sur les expériences de Piper Kerman et ses mémoires sur la vie pendant un an dans une prison pour femmes. Les épisodes s’améliorent de mieux en mieux et avec la saison 5, il n’y a plus d’excuse pour rater cette émission.
Peaky Blinders
Si Gangs of New York avait une suite et que cette suite se passait à Birmingham, voilà ce que ce serait. Un triomphe absolu de la télévision britannique avec Cillian Murphy dans le rôle de Tommy Shelby, le patron du crime, alors qu’il dirige des raquettes après la Première Guerre mondiale avec son gang à la tête plate, The Peaky Blinders. Des apparitions remarquées de Sam Neill et d’autres grands noms s’unissent pour en faire l’une des meilleures choses que la BBC ait faites depuis des années.
Hannibal
Un remaniement intelligent – et parfois très, très sombre – du Dragon rouge de Thomas Harris fait l’impossible : Hannibal “Le Cannibale” Lecter, d’un méchant pantomime à un monstre légitimement effrayant, redevient un monstre. Il ne se hâte pas d’abandonner les éléments plus familiers du livre ou des films précédents, mais utilise plutôt un format procédural “tueur de la semaine” pour développer la relation entre le psychotique Lecter (Mads Mikkelsen) et peut-être psychotique agent du FBI Will Graham (Hugh Dancy). Savoureux.
Breaking Bad
Évidemment. Nous n’allons pas vous réprimander si vous ne l’avez pas encore vu, mais vous savez que vous avez une gâterie en magasin quand vous y arriverez, et que vous allez probablement devoir annuler tous vos projets jusqu’à ce que vous l’ayez terminé.
The Sinner
The Sinner bouleverse le format classique d’une série policière en montrant le meurtre sanglant – et qui l’a commis – dès le départ. Au lieu de cela, nous passons une saison fascinante à enquêter sur les raisons pour lesquelles le crime a été commis en premier lieu. Jessica Biel et Bill Pullman ont réalisé des performances tout à fait parfaites et nous aurons bientôt droit à une deuxième saison.
Dark
Dark transcende rapidement le genre du crime et se transforme en une exploration flippante, vraiment effrayante et en expansion cérébrale du temps et de l’espace. Mais il garde en lui un mystère saisissant d’enfants qui ne cessent de disparaître d’une petite ville. Regardez en allemand mais avec sous-titres anglais – le doublage anglais est un peu naff.
Sons of Anarchy
Une série qui suit un gang de motards hors-la-loi alors qu’ils font le trafic d’armes et de drogue et tirent à travers des gangs rivaux comme s’il n’y avait pas de lendemain et que Scarface n’existait pas. Le tout s’articule autour du Hamlet de Shakespeare, qui, avouons-le, est un véritable classique. Ajoutez à cela des motos et plus de situations d’affrontement mexicaines que vous ne pourriez le faire avec un sombrero et vous obtenez une télé qui crée une forte dépendance, le lien est fait.
The Blacklist
The Blacklist met en vedette James Spader dans le rôle de Raymond “Red” Reddington, qui a été reconnu coupable d’espionnage et condamné à la prison à vie en 1990, mais s’est échappé de prison en 1995 et a ensuite disparu sans laisser de trace jusqu’en 2007, date à laquelle il est réapparu après 15 ans, en tant que génie du crime international, connu uniquement sous le nom de “l’homme”. Il recrute des criminels de haut niveau pour travailler pour lui sous l’apparence d’un détective privé, et les amène à commettre divers actes de terrorisme et autres crimes, tout en ayant une longueur d’avance sur le FBI et les autres organismes chargés de faire respecter la loi.
Les meurtres de Tupac et de Notorious B.I.G
Cette série docu-fiction a été lancée sur Netflix en 2018 et explore les meurtres du rappeur Tupac Shakur (1971-1996) et du rappeur Notorious BIG (1969-1997). La série se concentre sur les enquêtes menées par les policiers new-yorkais qui ont travaillé sur les deux affaires, ainsi que sur les membres de la famille et les amis des suspects, les rappeurs eux-mêmes, les médias et l’industrie musicale de l’époque.
The Keepers
Une équipe de femmes journalistes d’un journal de Baltimore découvre les preuves d’un tueur en série qui a assassiné de jeunes hommes et femmes noirs de 1963 à 1973 et enterré leurs corps dans une pièce secrète sous l’église qu’ils fréquentaient dans le centre de la ville. L’affaire a été abandonnée après des années d’enquête par la police locale et le FBI, ce qui a conduit l’équipe à se tourner vers l’archidiocèse catholique de la ville et ses prêtres.
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